Là où on ne les attend pas

Quelle agréable surprise de tomber sur une petite colonie d’orchidées sauvages…. devant le gymnase !

Ophrys abeille, sur une pelouse pourtant régulièrement tondue.

Comment avoir raté l’orchis-bouc ???

Parce que oui, il est partout. Vraiment. Hasard du calendrier des faucheuses, ou peut-être année exceptionnelle, ce qui se profilait il y a quelques semaines est bien là, des dizaines d’orchis-boucs sur le bord des chemins.

Le champ où j’avais précédemment observé un orchis-pourpre semble propice pour les orchidées sauvages puisque cette fois c’était un orchis pyramidal qui montrait sa tache rose au milieu des grandes herbes.

Les parasites orobranches colonisent également le terrain.

orobranche vue d’en haut

L’ail des vignes a sorti ses têtes.

En bonus, mais pas du tout au même endroit, un rare champ envahi de bleuets (ce sont eux qui sont rares…)